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L’expression « un tissu de mensonges » évoque un enchevêtrement d’invraisemblances, inventé pour tromper et « embobiner » l’auditeur ou le lecteur. L’évangile de Jean mérite d’être qualifié de tissu de vérités, calculé pour éclairer ses lecteurs et les faire rencontrer la Vérité incarnée. Le chef-d’œuvre de Jean est une superbe tapisserie tissée avec des mots ! On n’a jamais fini d’en sonder la richesse et la profondeur. Revisitez le récit de Jean l’évangéliste : pour voir Jésus, peut-être même pour mieux le voir et mieux le connaître. Car notre foi n’est jamais plus forte que notre vision de Jésus est juste. « Or, la vie éternelle consiste à te connaître, toi le Dieu unique et véritable, et celui que tu as envoyé : Jésus-Christ. »
L’Apocalypse, maintenant ! Un titre en forme de manifeste… et une invitation à découvrir que le message intemporel confié à Jean au premier siècle garde tout son intérêt aujourd’hui. Cette « littérature pour temps de crise » évoque, à l’aide d’images fortes, ce qui fait marcher le monde. Elle nous raconte une expérience vécue, celle d’un homme qui a eu le privilège de passer « derrière le décor », de contempler la réalité derrière les apparences – et qui est revenu pour en parler. La révélation qu’il a rapportée a le pouvoir de changer notre vie !
La correspondance privée de l'apôtre Paul rendue publique ! Exceptionnellement, nous avons ici le privilège de « regarder par-dessus l'épaule » d'un cher ami de Paul, pour lire son courrier. C'est une lecture qui nous aidera à comprendre comment l'apôtre a appliqué à un cas très particulier – et avec douceur – les grands principes de l'Évangile que, par ailleurs, il inculquait avec autorité dans les églises. C'est fascinant… et édifiant !
Le message de la première lettre de Jean. Rédigée dans le but de rassurer ses frères et sœurs en Christ, cette lettre est pourtant probablement l’écrit du Nouveau Testament qui a donné le plus de nuits blanches aux chrétiens à travers les siècles. C’est un livre où il est dangereux de piocher une phrase par-ci, un verset par-là, comme on a bien trop tendance à le faire. C’est là le sûr moyen de se faire peur – inutilement. Cette lettre est courte ; il n’y a pas d’excuse pour le lecteur qui ne la parcourt pas en entier ! Et il faut la lire entièrement, puis la méditer intégralement, pour être rassuré… pleinement.